ANTOINE GIACOMONI. Actualités.


 
Du 20 sept. au 26 octobre 2018  – VERNISSAGE LE 20 SEPT. À 18H00

Commissaire d’exposition : Centre Méditerranéen de la Photographie

Depuis le début des années 2000, Antoine Giacomoni poursuit un voyage méditerranéen avec son « mirror concept », vers d’autres territoires insulaires. Nous avons tous en mémoire les portraits en noir et blanc de « La Corse à travers le miroir » auxquels s’ajoutent aujourd’hui ceux inédits réalisés en Sardaigne (2001) et en Sicile (2004-2008). Ainsi, cette exposition regroupe les portraits de femmes et d’hommes appartenant, de près ou de loin, à la scène artistique contemporaine de ces trois îles.

«..Si la lumière était une gamme, on pourrait dire de celle d’Antoine qu’elle est mélodieuse et claire…» nous dit Anne-Marie Morice dans son très beau texte « miroir du mythe » à propos de l’œuvre d’Antoine Giacomoni.

una-volta.com





 
Scénographie
Conception scénographique CREAB DESIGN
Chef de projet - designer HERVE AMIEL

en collaboration avec
JEAN-MARC BLANC
scénographe - production exécutive

Réalisation
Pose et dépose :
société ESPACES
Appareillage, électricité et éclairage : société EDC
Fabrication structure métallique : société COMEC

Tirages argentiques
Denis Stass-Mandrakimage
Tirages numériques grands formats:
Imprimerie Pasqualini
Textes :
Antoine Giacomoni
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Autour de l'exposition
U sognu, u spechju, a bandera 

Une exposition photographique d’Antoine Giacomoni 


« U sognu, u spechju, a bandera », tel un autoportrait troublant dans l’espace merveilleux de son miroir magique, Antoine Giacomoni, l’un des plus emblématiques artistes corses, séduit et fascine...
Et notre âme est touchée par sa dimension mystique et par l’intense émotion que dégage cette installation consacrée à l’iconique tête coupée du drapeau corse, où modernité absolue, intemporalité, et noir et blanc des origines se confondent.

Outre son indéniable qualité esthétique et artistique, ce maître du noir et blanc argentique se révèle aussi en tant qu’auteur où, comme dans ses portraits aux yeux constellés de carrés de lumière – véritable marque de fabrique – ses mises en abîme vertigineuses ne se départissent jamais de leur part d’enfance et d’innocence.
Antoine Giacomoni reste persuadé qu’il a choisi le plus beau métier du monde ou du moins celui qui lui convenait le mieux : PHOTOGRAPHE [du grec photo = lumière et graphe = écrire] : ÉCRIRE AVEC LA LUMIÈRE, écrire qu’au demeurant, une île reste vulnérable et fragile.









Daho l'aime Pop

Exposition

Daho l'aime Pop !

Musée de la musique - Cité de la musique
Du mardi 5 décembre 2017 au dimanche 29 avril 2018
 Perspectives / Perspectives

Photographie de la french pop

Publié le 20 Novembre 2017
Dressant des ponts entre les différents univers musicaux, la pop se moque des définitions. Au travers des portraits d’artistes, de clips ou de chansons emblématiques, Étienne  Daho déplie l’histoire de cette foisonnante pop française.
par Étienne Daho
Françoise Hardy - Étienne DahoAntoine Giacomoni
Françoise Hardy - Étienne Daho
Je prenais des photos de loin en loin depuis mon adolescence. Je ressortis mes appareils à l’occasion d’une carte blanche musicale que me proposa la Philharmonie au printemps 2014. Comme je consacrais l’une des soirées aux artistes de la nouvelle pop française et à leurs parrains, je saisis l’occasion d’immortaliser leur insouciante photogénie et de capturer ce moment mystérieux de l’envol, celui où les choses se fabriquent. J’adorai l’expérience et la renouvelai lorsque le Midi Festival me proposa d’être le président d’honneur de l’édition 2016.
Quelques mois plus tard, la Philharmonie me proposa d’exposer ces images, mais comme je n’en avais qu’une trentaine, nous envisageâmes ensemble un projet plus opulent, où je serais le narrateur et guide d’un parcours subjectif de 70 années de pop française en 200 portraits. Ce ne serait donc pas un catalogue global de la pop française, mais un choix personnel de portraits d’artistes dont la trajectoire croise la mienne, soit ceux qui ont nourri mon inspiration et mon envie de devenir musicien, ceux qui ont accompagné ma route et ceux sur lesquels je souhaitais mettre de la lumière.
Si le projet était excitant, il était aussi plein d’écueils et j’hésitai un temps, évaluant la difficulté de m’extraire complètement du monde de la pop, dont je fais partie intégrante, pour le raconter avec assez de distance. L’autre complexité était que le nombre limité d’images pour couvrir une période si vaste m’empêcherait d’y inclure tous les artistes souhaités, avec le risque d’en occulter certains et de provoquer des frustrations légitimes chez les absents.
J’acceptai finalement et me lançai dans l’aventure, avec l’aide de Tristan Bera, Nathalie Noënnec, Franck Vergeade et l’équipe de la Philharmonie. Au travers des portraits des artistes au moment où ils apparaissent ou au moment où ils rayonnent le plus, au travers également de clips ou de chansons emblématiques, nous nous mîmes à déplier l’histoire de cette passionnante pop française.
Dans le choix du titre « Daho l’aime pop », il y a une énigme. Que signifie le mot « pop » ? Lorsque j’étais enfant et adolescent, je ne me suis jamais préoccupé des genres et passais allègrement de la chanson populaire à l’underground, avec un même plaisir non coupable. Lorsque je connus mes premiers succès, pour échapper aux modèles dominants et à la rigidité sectaire du rock et de la variété, je m’autodéfinis comme chanteur pop. Cela semblait m’offrir une zone de liberté qu’avaient défrichée certains de nos aînés. D’une manière générale, les « puristes » avaient tendance à considérer avec condescendance que la pop était essentiellement synonyme de plaisir hédoniste, de légèreté colorée et de compromission commerciale. Gainsbourg fut traité de vendu par ses pairs lorsqu’il explosa les codes et composa pour les yé-yé. Puis il fut sanctifié.
Nos aînés avaient bâti de belles fondations, fruits d’un hypermétissage de la chanson française et des rythmiques anglo-saxonnes. Le swing de Trenet, le rock de Boris Vian ou la pop anglaise sophistiquée de Françoise Hardy permirent aux générations suivantes de se retrouver en zone libre. Aujourd’hui, la pop a des contours fluctuants et se moque des définitions. Elle dresse des ponts entre les différents univers musicaux. Elle décloisonne, brasse, métisse, réconcilie les genres et arrache les étiquettes. Délivrée de la rigidité des codes, toute une nouvelle génération hisse très haut le drapeau d’une pop décomplexée, vive, variée, foisonnante et libre.
C’est à cette belle créativité et à cette liberté que cette exposition rend hommage.

Extrait du catalogue de l'exposition  Daho l'aime pop !, Éditions Gallimard Loisirs / Cité de la musique-Philharmonie de Paris, 2017, p. 9-10.







 

 

 

La Corse à travers le miroir : les photos d'Antoine Giacomoni exposées à Ajaccio







La Corse vue par le photographe Antoine Giacomoni

Intervenants : Antoine Giacomoni, photographe; Dominique Apietto photographe - France 3 Corse ViaStella - Delphine Leoni et Thierry Guespin

Antoine Giacomoni expose une série de 48 portraits à l'espace Diamant, à Ajaccio. Le photographe connu pour ses photos d'emblématiques groupes de rock est aussi un artiste profondément amoureux de la Corse.
Par France 3 Corse ViaStella
Lou Reed, Nico, Gainsbourg, Etienne Daho, autant d’étoiles qui ont un jour traversé l’objectif d’Antoine Giacomoni. Indissociable de l’émergence de la vague punk, esthète des années 80, le photographe natif de Borgo a écumé le monde mais n’a jamais oublié son île natale.


De retour en Corse, l’artiste expose à l’espace Diamant d’Ajaccio jusqu’au 23 mars. Souffrant d’un problème aux yeux, le photographe n’a pas pu participer à l’accrochage des portraits, alors c’est un avec un regard nouveau et empreint d’émotion qu’il a découvert cet hommage à son œuvre, intitulé La Corse, à travers le miroir.

Des portraits d’anonymes, de célébrités, de proches, d’inconnus. Dans ces portraits, une image de la Corse rurale sublimée, presque mythique. Mais l’artiste, qui a grandi dans une authentique bergerie corse se défend de toute nostalgie.
Je n’aime pas le mot nostalgie, parce qu’il y a souvent une part d’enjoliver les choses. Je n’enjolive rien !
Avant de capter ces images, le photographe a traversé plusieurs phases. Une multiplicité des influences qui se retrouve dans son travail. Une œuvre toujours en mouvement, qui joue sur les reflets, comme ses modèles qu’il faisait poser devant un miroir de loge.


Son œuvre reste d’ailleurs une référence pour ses successeurs.
Je ne fais que recopier ce qu’ont fait plein de gens avant moi. Mais lui, il a inventé quelque chose, et ça, c’est tellement fort.
Dominique Apietto, photographe








Le photographe Antoine Giacomoni révèle sa Corse à travers le miroir

 

 

 

Par @Culturebox

 


L'Espace Diamant d'Ajaccio expose jusqu'au 22 mars 2017, 48 clichés en noir et blanc d'Antoine Giacomoni. Une série de portraits très intime pour le photographe corse qui a capté les visages des plus grandes stars internationales. De Lou Reed à Marianne Faithfull en passant par Robert Smith ou Sophie Marceau dans sa jeunesse, aujourd'hui c'est à sa Corse natale qu'il rend hommage.
C'est avec beaucoup d'émotion que le photographe Antoine Giacomoni inaugurait l'exposition de ses photos à l'Espace Diamant d'Ajaccio. Atteint aujourd'hui d'une grave maladie des yeux, une opération l'a tenu à l'écart de la lumière pendant des mois. "C'est incroyable de découvrir qu'il y a comme des anges qui travaillent pour toi et qui apprécient ton travail", dit-il le souffle court. Quarante-huit portraits en noir et blanc de personnalités célèbres ou d'anonymes réalisés uniquement sur un tirage argentique racontent sa "Corse à travers le miroir".

Reportage : D. Leoni / T. Guespin  / F. Bernardini

 

De la bergerie corse à Carnaby Street 

Antoine Giacomoni a immortalisé les visages de dizaines de stars du rock. Lou Reed et Nico, Boy George, Depeche Mode ou les Cure, le photographe surfe sur le vague punk dès 1977. Après deux ans passés à la Sorbonne en fac d'arts plastiques, le photographe s'envole pour Londres où la ville s'embrase au moindre riff de guitare. Un destin incroyable pour le petit Corse élevé dans une bergerie près de Borgo.



Détail de la photo "Isabelle Bettelani, 106 ans, doyenne des corses"
Détail de la photo "Isabelle Bettelani, 106 ans, doyenne des corses"
© Antoine Giacomoni

C'est la Corse qui m'a donné tout ça... Moi je ne fais que restituer les choses
Une personnalité remarquable que ses confrères saluent avec humilité. "Lui, il a inventé quelque chose... et ça, c'est tellement fort", confie le photographe Dominique Appietto 

Miroir, miroir ... dis-moi que je suis la plus belle

 De la Jamaïque aux Etats-Unis il fait rimer les images avec la musique, mais c'est en revenant en Europe dans les années 1980 qu'Antoine Giacomoni affirme son talent. Il trouve alors son accessoire qui l'accompagnera sur tous ses shooting : un miroir de loge de théâtre. 

Dès lors, de nombreuses vedettes du cinéma et de la chanson française souhaitent se faire tirer le portrait dans le miroir.
Dani, Gainsbourg, mais aussi Etienne Daho, en 1986, c'est la jeune actrice Sophie Marceau qui obtient son "Portrait dans le miroir". 


Il demande aux stars de poser devant la glace, et c'est précisément à cet instant d'introspection qu'il déclenche. Et dans les yeux du modèle, il y a toujours cette petite guirlande de lumières qui anime le regard d'une imperceptible lueur.
"ll be your mirror reflect what you are" chantait Nico en 1966. La muse du Velvet Underground est la première invitée de ses fameuses "mirror-sessions".
Lorsqu'il revient à Paris en 1984, il est embauché par la prestigieuses agence Gamma puis, en bon Corse, retrouve son indépendance dans les années 1990. 

"Mon Père Ange Giacomoni"; 1991 - Affiche de l'exposition "La Corse dans le miroir" par Antoine Giacomoni 


"Mon Père Ange Giacomoni"; 1991 - Affiche de l'exposition "La Corse dans le miroir" par Antoine Giacomoni
© Antoine Giacomoni

En quarante ans de pratique, son approche de la photographie et des portraits a conservé la même vérité de la lumière et des visages.
Entre les noirs intenses, les contrastes marqués et le grain qui rappelle celui de la peau, les photos de Giacomoni portent en elles cet accent qui enchante les oreilles et fleurent bon le maquis brûlant.
Je n'aime pas la nostalgie car je n'enjolive pas les choses
Le drapeau corse vu par Antoine Giacomoni 
Le drapeau corse vu par Antoine Giacomoni
© Antoine Giacomoni

Infos pratiques


 

 

 

 

Dani couverture autobiographie La nuit ne dure pas - DR

Dani a publié une autobiographie intitulée « Le nuit ne dure pas » le 12 octobre dernier aux Éditions Flammarion.

La nuit ne dure pas… C’est de ces quelques mots sibyllins extraits de la chanson « Rouge Rose » écrite par Daniel Darc que Dani a souhaité intituler son autobiographie parue il y a quelques jours aux Éditions Flammarion. Des mots comme tatoués dans sa chair.
Meneuse de revue à l’Alcazar. Égérie de Truffaut, Vadim, Doillon ou Chabrol. Muse pour Gainsbourg, Duvall, Daho, Darc, Chamfort ou Botton. Vendeuse de roses et de sentiments. Icône de la mode – Newton, Sief et Giacomoni ont notamment réussi à saisir l’insaisissable comme personne. Au bout du compte, Dani est une artiste insaisissable. Une femme insaisissable, tout simplement. Plurielle, par définition. Singulière, comme par vocation.
Pour la première fois de sa vie (ou presque, Dani avait publié « Drogue, la galère » aux Éditions  Michel Lafon à la fin des années 80), l’insoumise et insaisissable artiste se raconte au fil des pages. Les strass, les paillettes et les péloches, évidemment. La descente aux enfers, comme un boomerang. L’éclosion d’une rose et la promesse d’un nouveau départ, enfin. Mais aussi – et surtout – une vie. Une vie remplie. Riche. Bouillonnante. Trépidante. Pas le genre de vie morose où rompre la monotonie quelques futiles secondes s’apparente à un exploit. Non. L’ennui, Dani ne l’a jamais connu. Ou si peu. Les ennuis, oui. Et quand bien même !
C’est une Dani côté cour, côté jardin qui lève ici le voile sur certains épisodes de son parcours. Quelques clichés volés au détour d’une vie fascinante. Avec ses hauts, très hauts, et ses bas, abyssaux. Des étoiles et des revers, en somme. Même en dévoilant une partie de son passé au travers de cet ouvrage, Dani est et restera un mystère au présent. Parce que Dani est une femme ancrée dans le présent. Comme elle l’a toujours été, d’ailleurs.
Notez que dans le même temps, Dani a publié une compilation de quelques-uns des succès qui ont jalonné son parcours de chanteuse, un projet orchestré de main de maître par Etienne Daho qui en signe la direction artistique et a réalisé trois titres inédits.
Luc Dehon

http://www.idolesmag.com/article-5924-Chronique-de-La-nuit-ne-dure-pas-l-autobiographie-de-Dani.html
Remerciements.









Publié le 27 septembre 2016
Le single de Dani Etoiles et revers réalisé et écrit par Etienne a été clippé par Antoine Carlier.
C’est la magnifique et saisissante de ressemblance Lou Lesage qui incarne Dani.
Ce single annonce la sortie d’une compilation et d’une autobiographie à paraitre le 14 octobre 2016.
– La nuit ne dure pas (Compilation 18 titres) chez Fontana / Universal
– La nuit ne dure pas (Autobiographie) chez Flammarion



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“La nuit ne dure pas” : le retour de Dani à la musique Tout sur Dani

“La nuit ne dure pas” : le retour de Dani à la musique

X Il est inutile de raconter une énième fois le parcours atypique de Dani. Il est grand temps de lui rendre la place qui lui échoit, celle d’une icône intemporelle et inclassable.
New York a eu Nico, Londres Marianne Faithfull, Paris a Dani.
Elle a su traverser les époques avec l’élégance et la décontraction de ceux qui ne savent rien de leur charme, troqué avec sang-froid les regrets d’hier contre les promesses de demain.
Cent fois enterrée mais toujours ressuscitée, Dani est un phœnix polymorphe qui apprivoise les arts avec l’humilité de la candeur.
Elève des Beaux-Arts, meneuse de revue à l’Alcazar, mannequin et égérie des plus prestigieux photographes: Helmut Newton, Jean-Loup Sieff, Antoine Giacomoni.
Muse de chanteurs cultes (Daho, Gainsbourg, Darc ou Chamfort, Boton, Souchon, Duval et Grillet) qui ont écrit spécialement pour elle, Dani imprègne et illumine la pellicule de Vadim, Chabrol, Lautner, Claire Denis et Jacques Doillon et restera pour les cinéphiles la Liliane de Truffaut dans l’oscarisée “Nuit américaine”.
Elle aura croisé tous ceux qui auront compté depuis cinquante ans et si Dani ne les connaît pas tous, tous connaissent Dani. “L’Aventure”, qui fut le “Studio 54” parisien, a vu ainsi défilé acteurs, politiques, rock-stars et couturiers qui, au bout de la nuit, élisaient pour confidente la maîtresse des lieux.
Tout ce que touche Dani elle le magnifie. Après quelques mésaventures elle fera éclore des roses aux quatre coins de Paris en créant l’enseigne “Au nom de la rose” avant de fleurir de rouge les magasins Agnès B.
Elle revient aujourd’hui à la musique avec une sélection de titres à faire pâlir la génération “Indé”. A l’écoute de ces morceaux, on redécouvre tour à tour une rockeuse, une crooneuse, une punk. Pour finir de s’en convaincre, il faut impérativement la voir sur scène où, transfigurée, elle enchaîne avec rage, art et tendresse ces pépites.
“La Nuit ne dure pas”, titre choisi par Dani pour ce projet, est extrait des paroles de sa chanson “Rouge Rose” écrite par Daniel Darc. Sous forme de récit illustré et de best of orchestré par Etienne Daho (réalisation de 3 titres inédits et direction musicale du projet), redécouvrez la vie d’une icône française qui a traversé et marqué cinq décennies.
Enfin, Dani s’est décidée à publier un récit. Elle raconte et ressuscite un temps où l’art se confondait avec la vie. En attendant d’écrire la suite d’une histoire qui ne veut pas se terminer.

Dani, nouvel album “La nuit ne dure pas”, maintenant disponible (Fontana)

Dani, “La nuit ne dure pas”, le livre, sorti chez Flammarion



- TRACKLISTING -

01- Etoiles Et Revers (Ce N’est Rien)*
02- Comme un boomerang / en duo avec Etienne Daho
03- Rouge rose
04- Un être humain à Paris
05- J’voudrais que quelqu’un me choisisse
06- Et Pourtant
07- Côté cour
08- Les Paris
09- Qu’est-c’t’as Qu’est-c’t’as pas ?
10- Trois petites larmes
11- J’suis pas comme toi
12- Nos rendez-vous
13- Reine d’Autriche
14- Tout est à vous
15- Cette histoire commence
16- N comme Never Again
17- La vie à 25 ans (Y’A Pas De Mal A Se Faire Du Bien)*
18- Vive l’enfance*

Direction artistique : Etienne Daho
*titres réorchestrés et réenregistrés
Remerciements Facebook Etienne Daho















LA VILLE - DUO DANIEL DARC & ETIENNE DAHO - EDITION LIMITEE
Le label Pias ressort en single vinyle blanc, "La ville", duo mythique et inédit de Daniel Darc et Etienne Daho. La précommande ici : http://musique.fnac.com/a…/Daniel-Darc-La-Ville-Vinyl-single
Sortie prévue le 6 novembre 2015
En 1988, Daniel Darc voulait que je produise son album. Pour jouer à être nos héros d’adolescence, il me disait "Sois mon Bowie, je serai ton Iggy"….. Concernant nos références communes, il était beaucoup plus sérieux que moi. C’était très tentant, mais par manque de temps je ne pouvais pas m’engager sur tout un album à ce moment là. Nous avons tout de même convenu d’enregistrer une des chansons, "La ville", pour en faire un single.
En plus du single, nous avons aussi enregistré cette chanson en duo, mais cette version ne fut pas publiée à l’époque. Quelques semaines avant son départ, j’ai revu Daniel rue Lafayette et nous avons longuement parlé sur le bord du trottoir. Nous avons aussi évoqué la possibilité de ressortir un jour cette version dont je n’avais conservé qu’une cassette inutilisable. Comme je gardais toujours des copies de mes productions, je me mis à la recherche de cette version perdue, mais sans succès. Le projet tombait à l’eau. C’est en allant à Rennes chez ma mère que j’ai retrouvé une cassette DAT au fond d’un carton, avec l’instrumental et nos deux voix séparées. Nous l’avons restaurée, remasterisée. Et voici finalement ce beau moment ensemble, intemporel, miraculeusement sauvé de la poussière et de l’oubli.
Etienne Daho

https://fr-fr.facebook.com/EtienneDaho/photos/a.395446383956.209626.8149453956/10154292589208957/?type=3


« PORTRAITS A TRAVERS LE MIROIR » d’ Antoine Giacomoni

Une exceptionnelle et rare exposition de photographies signées Antoine Giacomoni. Né à Borgo, il découvre la photographie en 1975 à Paris lors de ses études d’Arts Plastiques. Après de nombreux reportages sur la musique rock, il s’intéresse davantage au portrait et met en place un processus de prise de vue à travers un miroir cerné d’ampoules, rappelant le miroir de star. Depuis 1990, Antoine Giacomoni a élaboré un ample travail à partir de ce procédé dont nous pourrons voir un fragment pendant le festival. « I’ll be your Mirror » chantait Nico avec le Velvet Underground. Une égérie photographiée par Giacomoni.



La notion d'urbanité et de patrimoine dans les collections du Centre méditerranéen de la photographie 

Exposition  "Portraits à travers le miroir" d'Antoine Giacomoni

Vernissage le jeudi 20 à 19h30

Des portraits des stars de la musique photographiés selon un procédé ritualisé : un processus de prise de vue à travers un miroir cerné d’ampoules, rappelant le miroir des stars. « I’ll be your Mirror » chantait Nico, l’une de ses égéries.



Jeudi 3 novembre 2011 - 17h00 à 18h00

Salle Delorme



Proposée par le Centre méditerranéen de la photographie et la Collectivité territoriale de Corse
Intervenant :
Marcel Fortini, directeur du Centre Méditerranéen de la Photographie


Cette conférence proposera une réflexion sur deux notions, urbanité et patrimoine, vues par différents photographes qui ont traité le paysage urbain en Corse dans le cadre de la commande photographique sur le plan architecturale et humain : Georges Rousse , Stéphane Couturier, Massimo Vitali, Lea Eouzan, André Merian, Arno Gisinger, Olivier laban-mattei, Antoine Giacomoni, Christian Buffa, Stéphanie Lacombe...




      
Salon International du Patrimoine Culturel 2011




























L’Almanach du Corse 2011








Gérard BARDON
Jean-Claude Rogliano, Jérôme Camilly, Gaetan Mas, Jean-Guy Talamoni

ANTOINE GIACOMONI
Ou la mémoire argentique

C’est un artiste dont la trajectoire se résume difficilement en quelques mots : il a tourné le monde, il a fréquenté les stars du rock et il a vécu l’expérience des musiques métissées de la Jamaïque. L’auteur de "La Corse à travers le miroir" impose un autre visage de l’île, plus rugueuse, plus déterminée, et surtout, totalement à l’opposé de l’image que l’on diffuse habituellement dans les albums en couleurs.
Antoine Giacomoni est un portraitiste étonnant dont le parcours mouvementé explique, qu’un beau matin, il ait décidé de revenir au pays de ses origines pour déchiffrer les visages qui l’ont entouré depuis l’enfance : des voisins, un vigneron, une femme du peuple, ou encore, plus proche de lui, celle de son père.
Il est né, en 1955, à Borgo, en Haute-Corse. Après le bac, il suit pendant deux ans les cours d’arts plastiques à la Sorbonne et découvre l’univers magique de la photographie. En 1977, la mode Punk lui fait traverser la Manche et la musique devient le fil conducteur de ses voyages. Revenu en Europe, il invente "le mirror concept", un miroir de stars, et s’installe à Londres. À partir de 1991, il se consacre à une galerie de portraits des Corses de toutes conditions. Ce miroir, cerné d’ampoules électriques, lui permet d’éclairer l’intimité des sujets révélés par le noir et blanc qui est la couleur de la réalité rêvée. On y voit des visages plein cadre avec le sillon des rides, on y découvre des regards tournés vers l’intérieur, une humanité vue différemment et, curieusement, plus proche de nous. Mais son objectif ne se limite pas à la Méditerranée. Antoine Giacomoni se définit insulaire et fasciné par l’insularité : "J’ai l’impression de porter autour de mon cou, un chapelet d’îles qui ont fait de moi ce que je suis. La Corse où je suis né. Bali où j’ai cru renaître pour la deuxième fois. Gorée et sa prison d’esclaves noirs, aux murs rouges au large de Dakar. Les Philippines dans sa fusion hispano-sino-islamique. Ceylan et ses temples, la Sardaigne avec ses puits sacrés et ses nuraghe mystérieuses, Albion et sa révolution punk de 1977, l’île Saint-Germain à Paris, où je vivais sur une péniche."
Suite dans votre Almanach 2011











ROK

http://www.editionsdejuillet.com




ROKSollicitées par Frank Darcel (ex-guitariste de Marquis de Sade et d’ Octobre), les Éditions de Juillet ont convenu de répondre à cette simple question : existe-t-il une spécificité du rock breton ? Pour expliquer ce qui rapproche les Zoo, Alan Stivell, l’électrificateur de gwerz, Marquis de Sade, Etienne Daho, Dominique A, Katerine, Miossec, Bob Sinclair, Red Cardell, Pony Pony Run Run et bien d’autres, pour décrire l’éclosion des festivals d’été sur cette terre celtique et parfois pluvieuse, l’équipe rédactionnelle de ROK a mis au travail de nombreux journalistes, écrivains et photographes.

L’ouvrage rassemble une trentaine d’auteurs (Jean-Éric Perrin, Christophe Conte des Inrockuptibles, Michel Troadec et Philippe Richard de Ouest-France, Laurent Charliot, auteur du Rock Nantais, Olivier Polard, auteur de 40 ans de rock à Brest, Valérie Coroller de Marie-Claire, Thierry Jigourel, Gérard Bar David de Rolling Stone, Pierre-Henri Allain de Libération, Jean Théfaine...).


L’iconographie très riche y est souvent inédite. On y retrouve des images de photographes de renom : Richard Dumas, Xavier Lambours, Ian Craddock, Yves Quentel, Jean-Baptiste Mondino, Antoine Giacomoni, Richard Bellia, Jean-Louis Rancruel et Richard Volante.

Ce premier tome (1960 à 1989) sera suivi d’un second (1990-2010) qui sortira fin 2011.








Voce di Rutali in Corsica.

ANTOINE GIACOMONI EXPOSE A RUTALI 
 AOÛT 2010



Jimmy Cliff © A. Giacomoni

Antoine Giacomoni est né le 16 avril 1955 à Borgo . Elevé par sa grand-mère, il découvre la grande ville, Bastia, et la langue française à l’âge de six ans. Quatorze ans plus tard, son bac en poche, il quitte pour la première fois son île à bord d’un avion qui le dépose à Paris.
Cela fait alors deux ans qu’il a découvert la boîte magique connue sous le nom d’appareil photographique. Inscrit aux Arts plastiques à la Sorbonne, il y reste deux ans.
Annonciade Giacomoni
 © A. Giacomoni
En 1977, la vague punk lui fait traverser la Manche. Définitivement accroché à son boîtier et à ses objectifs, le jeune nihiliste commence à voyager. Désormais, la musique devient le fil rouge de ses errances photographiques. Et de la révolte urbaine punk à la spiritualité rasta, il n’y a qu’un pas. D’une île à une autre. En Jamaïque, Antoine Giacomoni devient photographe professionnel : premiers reportages.
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De retour dans la vieille Europe, la technique enfin maîtrisée, le jeune photographe se met à rêver à d’autres univers. Il veut passer à travers le miroir. Alliant le minimalisme (un simple miroir cerné d’ampoules électriques) au glamour de l’âge d’or hollywoodien (chacun devient une star dans ce miroir aux mille feux), le “Mirror-concept” s’impose comme le double du corse exilé. Nico qui chantait “I’ll be your mirror” au sein du Velvet Underground est la première invitée du miroir. Le miroir et son propriétaire s’installent à Londres en 1980. Les “Mirror’s sessions” vont s’enchaîner pendant trois ans. En 1983, retour de l’enfant prodigue sur le continent. A la galerie des Lombards (Paris), une exposition indéfiniment prolongée le consacre “Wonder boy de la photo Rock”. Un an plus tard, il rentre à l’agence Gamma, puis redevient free-lance. -->
En 1986, il reçoit un “Totem du Bataclan” décerné par France 3 Télévision pour son invention du “Mirror-Concept”. En 1991, Antoine Giacomoni publie aux Editions La Sirène son premier ouvrage “Portraits à travers le miroir”, fruit d’une décennie de mirror’s sessions, consacrés à des stars internationales. Dès lors, il entreprend un long travail consacré à son île Natale La Corse à travers le miroir/A Corsica, franchendù ùspechjù

(La Marge Edition – 2002) suivi de trois autres livres aux Editions Horizon Illimité “Nico, ou le drame de l’exil” (2003), “Daho par Giacomoni, ” (2004), “Reggae /Jamaïca” (2004).
Il prépare actuellement un ouvrage couleur consacré au Makeup Art intitulé “Les métamorphoses de Stathis” ainsi qu’un autre livre sur “Armande Altaï : Chanteuse barock” et un Best Of Carnet de voyages et mirror’s sessions, intitulé : “Un Miroir pour mémoire”, un album noir et blanc de Mirror’s Sessions consacré aux différentes îles de la Méditerranée, sans oublier un autre livre en préparation “Les Catalans, à travers le miroir”. Basé en Corse, il se consacre à l’écriture, au Mail Art et à la création d’un jeu de tarot/Support de Méditation où ses talents graphiques allient calligramme et création de symbole.












CARAVANA DELLA LETTERATURA MEDITERRANEA


11 – 13. GIUGNO. 2010
SCIACCA MULTISALABADIAGRANDE




Off Course
Fuori rotta - Salvo Cuccia -




É un viaggio attraverso il Mediterraneo. La vicenda principale ruota attorno alla figura del fotografo corso Antoine Giacomoni che, per circa 30 anni, immortala soggetti allo specchio. Per le sue «mirror sessions» fotografa grandi star del rock come Nico dei Velvet Underground, i Sex Pistols, Lou Reed e molti altri. Successivamente, Antoine perde la vista, che poi riacquisterà, pur rimanendo molto sensibile alla luce: un fatto sconvolgente per un artista dell’ immagine, un evento che cambierà la sua vita.

 Da Parigi, il protagonista si ritira in Corsica e ricomincia a fotografare. Questa è la premessa da cui nasce l’idea del film: un viaggio «fuori rotta», reale e metaforico, attraverso il Mediterraneo. Tutti i luoghi ed i personaggi che Antoine incontrerà, alcuni noti – come Adonis, il più grande poeta arabo vivente – altri sconosciuti, rappresentano un frammento del Mediterraneo di oggi, simbolo del viaggio per eccellenza.

















N° 3 - 2010





N° 3 - 2010

History of photography - Part 1





Auguste Lumier and Giuseppe Incorpora - First color shots
Edoardo Alfano - A photographer of the early 900
Mirror session - The portraits by Antoine Giacomoni Invisibles - Children of a nomad camp
A treasure of Madonie - Discovery Polizzi Generosa
Instant portraits - Polaroid collages by Maurizio Galimberti
Heritage of love - Fishery resources of Sicily
The endangered bluefin tuna
The artist of corpses - Isaiah, the undertaker in Harlem
Solo exhibition by Mario Vidor, Joseph Circhetta, Henry Hoffmann
Illustration by Franco Donarelli





Au fil des mots…Dessine l’Espoir et le Printemps des Poètes



Du 8 au 21 mars 2010, sur le thème Couleur femme *




"Disons-le sereinement, en poésie comme dans les autres domaines artistiques, la femme a le plus souvent été cantonnée à un rôle subalterne : muse, confidente, consolatrice… La valeur péjorative de l’appellation « poétesse » en dit plus que de longs discours. La question n’est pas de débattre s’il y a ou non une poésie féminine. La question est de mettre en lumière l’apport, à travers l’histoire, des femmes poètes et leur présence remarquable dans la création contemporaine. Ce pourra être aussi l’occasion de considérer les représentations du féminin dans l’imaginaire poétique, au-delà des stéréotypes de la célébration amoureuse."
Jean-Pierre Siméon* tiré du titre du recueil de Guénane Cade





Au fil des mots…

Dessine l’Espoir et le Printemps des Poètes

présentent  L’exposition


dans le cadre du 12e Printemps des Poètes (mars 2010) sur le thème « Couleur femme »,exposition de poèmes brodés par des femmes séropositives du Swaziland





Le concept

Demander à des artistes et créateurs d’illustrer et d’interpréter quelques vers depoésie, dans la tradition poésie et arts plastiques. - Faire broder ces créations en grand format par un groupe de femmes séropositives de l’organisation « Hope4Swaziland », de Piggs Peak, au Swaziland.- Organiser la tournée de cette exposition en France et à l’étranger avec pour pointde départ le 12e Printemps des Poètes (8-21 mars 2010).
Cette exposition tournera dans plusieurs lieux en France afin de rencontrer un public trèslarge. Le point de départ sera la manifestation du mois de mars avec une présentation à laMaison de la Poésie (Paris 3e).Le Printemps des Poètes accompagnera en communication la tournée qui se prolongera audelàde la manifestation jusqu’à l’été 2011.Les broderies seront vendues au terme de l’exposition au profit de l’association Dessinel’Espoir, afin de financer des projets de soutien à cette communauté.La totalité des frais de location est reversée à Dessine l’Espoir pour financerles actionsde terrain au Swaziland en faveur de personnes séropositives.


Plus d’infos : www.dessinelespoir.org Joel Andrianomearisoa (artiste Malgache exposé à Beaubourg pour Africa RemixFrançois-Marie Banier (artiste photographe) Carole Benzaken (artiste peintre) Cardin (créateur de mode) Robert Combas (artiste peintre)Maurizio Galante (créatrice de mode) Antoine Giacomoni (artiste et calligraphe corse) Anne-Valérie Hash (créatrice de mode) Hassan Massoudy (calligraphe irakien) Misstic (artiste de rue) Sakina Msa (créatrice de mode comorienne) Tony Soulié (artiste photographe), …


ANTOINE GIACOMONI

 EXPOSE

NICO A COLOGNE






An der rechhtschule 50667 koln
tel. 0221/221-23860Exposition collective 30 . octobre 2008 - 01.février 2009



Nico – Cologne, Berlin, Paris, New York
stages in the career of a pop icon



Museum für Angewandte Kunst:

30 October 2008 to 1 February 2009






Christa Päffgen (1938-1988), who as a blond bombshell went to New York, met Andy Warhol and became a famous singer under the name of NICO, would have celebrated her 70th birthday in October 2008. This exhibition pays tribute to her on the occasion of this






Nico dans les loges du CBGB's.
 un dernier regard dans le petit miroir avant d' affronter la scène

NEW- YORK 1979

collection: Denis Stass

copyright Antoine Giacomoni





impressum



Dieses Programmheft erscheint anlasslich der gleichnamigen Ausstellung im Museum fur Angewandte Kunst Koln. Der herausgeber dankt allen Personen und institutionen, die bei der Realisierung der Ausstellung und des Rahmenprogramms halfen.



Fiona Adams, Musicpictures Ltd

Babylon Kino, Berlin

Berlinische Galerie, Berlin

Gerd Borkelmann & Andrea komor

Dr. Patricia Brattig

Wolfgang Burat

Kevin Cummins, London

Rudi Frings

Peter Gall

Friedrich Haupt

Historisches Archiv der Stadt Koln

Dorothee Joachim

Klaus Knop

Stefan Krachten

Joachim kuhn, Kinogesellschaft Koln

Kunst- und Museumsbibliothek Stadt Koln

Alexander Kuntz

Werkstattkino, Munchen

Lisa Law, Santa Fe

Philip Lethen

Jim Marshall, San Francisco

Jonas Mekas
Mick Jones Studio
Arno monnig
Museum fur Angewandte Kunst, Koln
Museum of Modern Art, New-York
Galerie Christian Nagel, Berlin
Monika Pfeil
Stephen shore
Bianca Schoning
Henning Schulte & Carsten Lisecki
Barbara Sieff, Paris Denis Stass *
Stiftung F.C Gundlach, Hamburg
Peter subkowski
Lutz Ulbrich
Annette von Wangenheim
Guy Webster
BBC, Sally Williams.

Kurator / Herausgeber:
Uwe Husslein, Dokumentationzentrum fur Popkultur
c/o JFC Medienzentrum; info@dokpop.de

verlag & Geschaftsfuhrung :
Popkultur koln e. V., Richartzstr. 2-4, 50667 koln,@popkulturkoeln.de

Copyright fur die texte : Uwe Husslein, Tim Kluetz


Copyright fur die Abbildungen: bei den fotografen, Kunstlern & Verlagen

Ausstelungsarchitektur:

Art direkt Stephan Pfeil. www. art-direkt.de

Marketing:

Publique Kulturmanagement Urban Armborst, www.brandtec.de

Projekorganisation:

Anina Baum ,,,










Nico, Linden Garden's London

collection Denis Stass


copyright Antoine Giacomoni










Filmprogramm zur Ausstellung
Museum für Angewandte Kunst, Vortragssaal
An der Rechtschule, 50667 Köln











Reservierung /Information
Tel 0221-46 942 40

Do., 6. November 2008, 20.00 UhrAndy Warhol's Exploding Plastic Inevitable

USA 1967 - Regie: Ron Nameth - Mitwirkende: Nico, Velvet Underground, Andy Warhol, Gerard Malanga

Mit seiner Show Exploding Plastic Inevitable (E.P.I) schuf Andy Warhol 1966/67 in Zusammenarbeit mit der Band Velvet Underground ein Aufsehen erregendes Spektakel aus Lärm, Lichtblitzen, Filmen, Diaprojektionen und Tänzern und energetischen Rock'n'Roll. Er schuf dadurch ein multimediales Ereignis zwischen Kunst und Party. Ron Nameth hat die Auftritte der Band in einem Club in Chicago mit seiner Kamera festgehalten und zu einer Experimentalfilmcollage montiert.

Scenes from the life of Andy Warhol
USA 1990 - 38 Min. - Regie: Jonas Mekas - Mitwirkende: Nico, Velvet Underground, Andy Warhol, Yoko Ono, John Lennon u.a.
Zu treibenden Klängen von Velvet Underground zeigt Jonas Mekas Eindrücke aus Warhols täglichem Leben. Zu sehen sind dabei auch seine Freunde von Yoko Ono, John Lennon, Ed Sander. Auch dieser Film ist meist in der Kamera geschnitten, voller Lichterblitze und Doppelbelichtungen; eine wahre Bilderflut vibrierender Aufnahmen voller Leben

.Do., 13. November 2008, 20.00 Uhr

Willy Maywald , Nico und die Mode

Einführung und Moderation: Annette von Wangenheim

Berühmt wurde Maywald als Fotograf für Dior und seine Portraits berühmter Künstlern wie Picasso oder Chagall. Nico, die Stil-Ikone der 60er, ist die Vereinigung von Leben und Kunst in Person. Dieser dokumentarische Vortrag mit Fragmenten aus seinem Atelier zeigt die intime Atmosphäre zwischen dem Künstler und seiner Muse. Gezeigt wird ferner einzigartiges Filmmaterial l mit Nico als Model Anfang der 60er Jahre sowie der Dokumentafrilm

Eleganz des Blicks - Der Fotograf Willy Maywald
Deutschland 2007 - 45 Min. - Digi Beta - Regie: Annette von Wangenheim

Die Filmemacherin Annette von Wangenheim führt durch das Leben und das Werk des Modefotografen Willy Maywald und gibt dadurch Einblick in die Stil- und Modewelt der 50er und 60er Jahre. Als "Gentleman der Modefotografie" gab er den Mannequins eine magische Aura, und auf Augenhöhe mit den großen Künstlern des 20. Jahrhunderts gelangen ihm Momentaufnahmen und Persönlichkeitsstudien, die unvergesslich bleiben.Di., 18. November 2008, 20.00 Uhr

The Velvet Underground And Nico - A Symphony of Sound

USA 1966 - 67 Min. - OF - s/w - Regie: Andy Warhol - Mit: The Velvet Underground & Nico

Aufgenommen während einer Jamsession der Band in der New Yorker Factory im Januar 1966, antwortete Warhol mit psychedelischer, wilder Kameraarbeit auf die experimentelle Musik, so dass Bild und Ton eine Gesamtkomposition ergeben. Die Proben werden von der Polizei aufgrund von Beschwerden der Nachbarschaft unterbrochen. Dt. Erstaufführung.

Do., 20. November 2008, 20.00 Uhr
STRIP-TEASE- Das Mädchen Ariane
Frankreich / Italien 1963 - 95 Min. - Buch: Jacques Poitrenaud, Jacques Sigurd - Mit: Nico, Dany Saval, Jean Sobieski, Big Joe Turner, Umberto Orsini - FSK: 18
Wegen ihrer finanziellen Misere nimmt eine kleine Balletteuse zum Striptease Zuflucht, wendet sich aber bald wieder davon ab. Ein unspekulativ-ernsthafter Film mit Nico in ihrer ersten Hauptrolle, der seine milieukritische Absicht deutlich in die Tat umsetzt.
Do., 2. Dezember 2008, 20.00 Uhr

Nico im Stollwerck

D 1982 - ca. 65 Min. - OF - s/w - Regie: Rudi Frings - Schnitt: Olaf Klein

Im Mai 1982 gab Nico ein viel beachtetes Konzert in ihrer Heimatstadt Köln. Das Gelände der damals besetzten Stollwerck-Fabrik in der Südstadt bot den passenden Rahmen für den morbiden Charme der Musik Nicos.




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Chaque mois corsematin.com vous invite à découvrir le travail d'un photographe corse. Rendez vous ce mois ci avec Antoine Giacomoni "l'inventeur du Mirror Concept". De Rock'n Folk à Gamma, du reportage au portrait et du portrait à l'art contemporain, ce photographe a su imposer sa signature (le carré lumineux dans les yeux). 
Auteur de nombreux livres, notamment "la Corse à travers le mirroir", nous revenons sur ses années "Underground" à Londres et Paris où il a photographié nombre de futures stars de la musique.
















Galerie « ACentMètresduCentreduMonde »






Exposition « Les Catalans à travers le miroir »
du photographe Antoine Giacomoni – Près de

200 portraits en noir et blanc de « gens d’ici »,

aussi bien des personnalités que des anonymes,

autant de facettes de l’âme des terres catalanes

– Renseignements au 
3 Avenue de Grande-

Bretagne. Tél : 04 68 34 14 35.











A Malmö

Fotogalleriet FORMAT





 Exposition à Malmö. Du 11 mars au 19 avril 2006










lördag 11 mars kl 13:00-17:00
GENOM SPEGELN - ANTOINE GIACOMONI
VERNISSAGE inklusive dokumentärfilmvisning och föreläsning av fotografen.

Fotogalleri Format:
GENOM SPEGELN

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retrospektiv porträttutställning av Antoine Giacomoni
Antoine Giacomoni är född på Korsika och arbetar sedan 1970-talet med fotografi.

Under 80-talet gjorde Antoine Giacomoni raketkarriär när han fotograferade dåtidens rockstjärnor. Fast besluten att nå ett steg närmare personen som skulle fotograferas uppfann han en metod där han tog porträtten genom en spegel. Metoden blev succé och stjärnor som Nick Cave, Depeche Mode, Nico, Bauhaus, Johnny Rotten och Johny Thunders hamnade framför spegeln. Pärlbandet av sminkspegelns lampor reflekterade i modellens ögon blev snart Antoines signatur och hans bilder publicerades i tidningar som The Face, New Musical Express och Melody Maker.






Efter en tid rockens jetset drog sig Antoine Giacomoni tillbaks till Korsika och började fotografera sina grannar med samma teknik. Spänningen mellan porträtt på de unga stjärnorna och de mogna grannarna ger ett unikt perspektiv i en tid då vardagen sällan hamnar jämställt med berömmelse.

Porträtten som nu ställs ut spänner mellan 1980 och 1999, mellan ung och gammal, mellan stjärnglans och vardag.



lördag 11 mars

kl 13:00 - vernissage

kl 13:15, 14:15 och 15:15 - dokumentärfilmen GENOM SPEGELN
(regi: Michele Don Ignazi & Christophe Ginest)

kl 16:15 - föreläsning av Antoine Giacomoni

Utställningen pågår 11 mars - 19 april

Galleriets öppettider: ons–fre 14:00–18:00, lör–sön 13:00–16:00
Arr: Fotogaleriet Format i samarbete med Folkets Bio Malmö och Kf Panora


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